Duels dans les couloirs [LIBRE!]

Il m'était paru évident, en revenant de l'université, que nous devions revenir, Jasper et moi. C'était cependant idiot de recommencer nos études, puisque la plupart des enseignants n'avaient pas changer et connaissaient tellement bien nos visages qu'il aurait été impossible ou très difficile de les berner. J'avais donc proposer à mon mari de devenir enseignant! Bien que mon homme avait été un peu réticent, il avait accepter, surement pour me faire plaisir. Et puis, il était diablement beau en professeur de Mathématique! Sexy même...okay on s'égare là, revient sur terre Alice! J'avais tout mis en oeuvre pour nous vieillir un peu, mais j'avais abandonner depuis longtemps l'idée de me grandir un peu. Car même armée de talons hauts de 10 centimètres, mes élèves, même les plus petits, me dépassait d'un tête, sans difficulter! Passons...

Je sautillais joyeusement entre les allées en leur lisant quelques passages de Roméo & Juliette. Oui sautiller, car je ne marchais pas vraiment, danser serait peut-être un peu plus juste, mais sautiller était le mot juste. Je paru insensible au regards d'admiration posée sur ma petite personne, mais la situation était très drôle! J'aurais même éclaté de rire si j'aurais pu! Mais je restai détachée, mais souriante. Je me demandai si les adolescents détaillaient Jasper avec le même air. C'est qu'il était plutôt beau mon homme! Magnifique même!

"L'amour n'est pas l'amour s'il change lorsqu'il se trouve que son objet change. C'est un phare érigé, pour toujours, qui voit les ouragans sans jamais en trembler. L'amour ne change pas, au fil des courtes heures et des courtes semaines, mais il perdure jusqu'au seuil du jugement dernier." Chantonnai-je de ma voix douce.

Au même moment, je me retournai vers la porte, j'apperçu le magnifique visage de mon ange blond, prononçant un "je t'aime". Je me sentis fondre et lui offrit un magnifique sourire. Shakespeare était peut-être un peu démonder et souvent à côté de la plaque. Quelques fois illusoire d'ailleurs, mais il avait raison sur ce point. Malgré les décénies, mon amour pour Jasper n'avait jamais changer, il était même de plus en plus fort, plus dévorant, plus brûlant.

Je me retournai de nouveau vers ma classe, souriante, enjouée et sautillante! Mon regard embrassa un moment la pièce, on me scrutait attentivement alors que je fermai mon livre d'un geste souple et le déposai sur mon bureau au je m'assis. Tappant dans les mains, signalant à mes étudiants que le cours était terminer. Je les observai s'afférer et releva les yeux vers mon mari, lui signalement que je ne serai plus longue.

" Je veux 200 mots sur ce que veux dire la dernière citation pour vous vendredi, sur mon bureau! Allez maintenant fillez! Ouste!"

Je regardai les adolescents fillés dans les couloirs, je pris mon sac à rejoignit Jasper dans le couloir, claquant la porte derrière moi. J'affichai un air surpris, mais l'amusement se lisait dans mes prunelles.

" Monsieur Hale! Que puis-je pour vous?"

Je m'esclaffai. Des têtes se tournèrent vers nous, curieux ou bien admiratif. Aller savoir pourquoi. Un groupe de jeunes filles discutaient dans le dos de mon homme, il n'était dur de savoir de quoi de la façon dont elles le regardaient! Décidement, il n'y avait pas qu'à moi que Jasper faisait de l'effet! Mais c'était MON mari compris? Je sentis une pointe de jalouse m'envahir. Y'avait que moi qui pouvait le regarder avec un air aussi béat et idiot! C'est donc avec un sourire diabolique sur les pieds que je me hissai sur la pointe des pieds pour posées mes lèvres sur les sur les siennes, fièvreusement. Lorsque je me détacha, le petit groupe nous regardait dégouter et écoeurer, j'éclatai de rire, incapable de m'arrêter.

" Souriez Monsieur Hale, vous avez des admiratrices très charmantes! J'en suis presque jalouse!"

Ses mots faisaient vibrer mon coeur et mon âme. Sa façon si particulière de prononcer mon nom, teinté d'un professionnalisme me faisait fondre de plaisir. Si la plupart de nos élèves savaient la profondeurs de nos sentiments, la plupart savouraient les rumeurs sur la liaison entre madame Cullen et Monsieur Hale. Bien que l'ont ne portait pas le même nom, plusieurs avaient entendu parler de notre lien familiale, et les ragots partaient dans toutes les directions.

Derrière moi, je sentais les hormones de certains joueurs de Volley-ball de l'école pour ma douce. Elle était si exquise dans ce petit tailleur que je ne pouvais leur en vouloir. J'avais senti l'envie et l'amour des autres jeunes pour Alice depuis des années, fréquentant les secondaires les uns après les autres. Par contre, je ne pouvaient m'empêcher de ressentir une pointe de jalousie. Certain de ces jeunots étaient fort bien bâti.

Maintenant qu'Alice étaient officiellement professeur, la sorte d'admiration des garçons pour elles avaient quelques choses de malsains, et c'était avec peine que je controlaient mes sentiments.

Comme si elle avait lu en moi, ma douce se jeta dans mes bras, m'embrassant furieusement. Puis, lorsqu'elle se détacha de moi, je fis la moue. Nous devions nous montrer raisonnable! Nous étions l'autorité après tout. Je ne pu , par contre, rester de marbre très longtemps. Sa réflexions sur mes admiratrice eut le don de me faire sourire. Ce que je l'aimais.

- Nous aurons tout le temps qu'il faut pour nous embrassez ce soir mon amour. Nous devons de protéger notre emploi maintenant.

Je n'osais imagniné la tête qu'aurait eu le directeur à la vue de notre embrassade, même si je devais me contenir pour ne pas l'embrassai fougeusement une nouvelle fois.

- Votre classe c'est bien passé ma chère?

Lorsque nous parlions, il était aisé de nous donné 25-26 ans, l'âge que nous serions censé avoir. Les siècles qui m'habitait, et l'époque à laquelle j'étais né m'aidais grandement.

Les ragots...Ah! ah! Ça me faisait tellement rire. Les élèves ne savaient pas à quel point ils étaient à côté de la plaque, ou au contraire, trop bien informé. Dans tout les cas, dès que j'entendais des paroles ou les mots "Professeur Hale" et " Madame Cullen" étaient raprocher, je ne pouvais m'empêcher d'écouter au porte! C'était trop drôle.

Je plongeai mon regarda dans celui de mon homme. Je compris rapidement que des jeunes adolescents s'amusaient à me relooké dans mon dos. La pointe de jalousie dans les yeux de mon Jasper était indécelable pour la plupart des humains, mais pour moi qui le connaissait trop bien, je le savais. Il avait toujours détester que les autres représentant du sexe masculin me regarde comme si j'étais un morceau de viande. Je dois dire qu'il en était de même pour moi. Il faut avouer que mon mari avait le physique d'une star de cinéma taciturne mais d'une beauté effrayante et presque douloureuse. C'était tellement....reprends-toi Alice, bon sang!

Après mon baiser, je l'observai faire la moue en me mordillant la lèvre. Il était tellement craquant! Je le mangerait tout rond! oui oui! Une petite lueur naquit dans mes yeux, moins malicieuse qu'en général, mais étrange et incadescente. Je n'avais pas envie de me montrer raisonnable, je n'étais pas raisonnable! Je ne l'avais jamais été d'ailleurs. Ce fut à mon tours de faire un moue, celle d'une petite fille se faisant disputer pour avoir manger des gâteaux alors que sa mère lui avait interdit.

" Oh, c'est loin ce soir, monsieur Hale! " maugréais-je, tout de même joyeuse.

En effet mon sourire revint très vite. J'avais une envie irrésistible de me retrouver seule avec lui, mais ce moment attendrait...dommage. Après mon affreuse vision du mariage, je m'étais un peu plus rapprocher de lui, enfin si c'était possible. J'avais toujours été accrocher à lui, comme un sangsue à sa proie...heum...mauvaise métaphore! Son visage était tout de même son visage qui s'était gravé dans ma mémoir a mon réveille. Il était mon premier souvenir et mon dernier, j'espèrait...mais il n'y aurait pas de dernier, jamais. Je ne voulais pas.

" Shakespeare est un peu barbant, mais c'était sympa! Les élèves ne semblent pas comprendre le moindre mot de ce que je dis d'ailleurs...je parle peut-etre trop vite? tu en pense quoi? On verra bien, ce n'est pas moi qui va être coincé avec des examens! Oh! et toi? Tu t'es bien amusé? Ce n'était pas trop pénible? Quoi que...les mathématiques...ça peut pas être surper géniale!"

J'intérompis mon monologue que j'avais déballer à une vitesse folle pour le laisser répondre, souriante. Pendant que je parlais, j'avais bouger dans tout les sens, comme une ballerine sans musique et des rires s'élevaient, non moqueur, mais amusés.

Je venais de terminer mon cours d'espagnol. Je m'étais amusé à écouter les pensées des autres pendant le cours. Chacun avait sa ptite histoire.
Une fille avait des problème avec ses parents, elle ne savait pas comment leurs avouer qu'elle voulait partir à la fac de New York.
Un garçon ne savait pas comment aborder une fille dont il avait le béguin.
Et notre prof, essayait de trouver des exercices pour le controle de demain.
C'était une matinée ennuyante. Mais ordinaire comme tous les autres jours.
Sauvée par le gong, la sonnerie retentit, je sortis rapidement de la salle de cours. Dans les couloirs je croisa Rosalie qui partait rejoindre Emmett.
Je n'eu meme pas besoin de lui demander comment c'était passer sa matinée, interrieurement elle me raconta tous. Son cours de science avait été tous particulièrement interressant. Explication du corps humain.
Je rigola seul en imaginant Rose pendant ce cours. Elle me remit en place quand elle compris que je me payais sa tete.
Tous les deux, nous partimes direction le refectoir dans l'espoir de trouver nos freres et soeurs.
Ont finis par tomber sur le nouveau professeur Jasper.

- Salut vous deux

Ont s'approcha du couple, qui était encore en train de se réciter des vers de poeme. Touchant, mais un peu soulant. Si Alice savait ce que je pensais, elle m'arracherais la tete.

- Comment c'est passer ta journée mr le professeur

Un sourire rayonnant naquit sur mes lèvres lorsques les versets du poètes passèrent ses lèvres. J'inclinai à tête vers la droite, résistant à l'envie irrésistible que j'avais de m'enfermer avec lui. Ahem....pitié! Qu'est-ce qui me prenait aujourd'hui? Si je pu m'empêcher de lui sauter dessus, je n'y pu rien lorsque ma main, caressa sa joue, frôla ses lèvres et se posa doucement là où son coeur devrait battre. Je fis un pas de vers lui. Les gens devraient trouver étrange que deux de leurs enseignants agissent ainsi dans les couloirs de l,école...tant pis pour eux!

" ah oui! Dis comme ça, Shakespeare est tout sauf barbant..."

Sa réplique à propos de la beauté me fit rire. Je secouai légèrement la tête de gauche à droite, puis leva les yeux au ciel comme une gamine exaspérer par son cours de biologie. J'allai répliquer quelque chose lorsque mon frère s'arrêta à notre hauteur. Je l'avais vu venir, mais n'avait pas osée brisé se moment. Je me retournai vers les nouveaux arrivants, appuyant mon dos contre le torse de mon homme. Je leur offrit un grand sourire en retour de leur salut et levai les yeux au ciel pour la deuxieme fois en dix minutes à la question d'Edward.

" Et moi je compte pour du beurre?Quel manque de galatrie! Tu me déçoi, frérot! " commentais-je en essayant de lui ébourrifer les cheveux.

Malheureusement j'étais trop petite et lui trop vif. C'était pas juste! Je croisai les bras sur ma poitrine, boudeuse. Mais la présence de Jasper me fis rapidement oublier ma tentative raté et je me retournai vers Rosalie avec un immense sourire éclatant.

" Et toi, Rose? Tu t'es amusée? C'était pas trop pénible?!"

J'étais donc entourée de ma famille et Edward m'avait rendu mon baiser et m'avait également sérer ma main comme si j'allais m'enfuir ,apparement je lui avais également manquer ce qui me fis sourire.Jasper venait de répondre à la question que je venais de lui poser ,mais je compris bien vite que je n'étais pas la seule à lui avoir demander.Faut fire que sa faisait bizzare d'avoir un prof comme vampire même si les autres élèves l'ignoraient ,savoir que son frére était notre prof ,surtout qu'Edward m'avait déjà dis que Jasper avait était le dernier végétarien et que c'était toujours aussi difficile pour lui de resister à l'appel du sang.Donc passer une jounée entiére en compagnie des élèves au sang chaud sa devait pas être de la tarte ,et apparement sa ne s'arranger pas puisqu'il répondi que ses 5 jours ont étaient pénibles se qui était compréhensif.

Je m'en doutes ,en tous cas chapeaux faut avoir du courage pour faire ça.Moi sa fais seulement 7 ans que je suis vampire et j'ais toujours du mal ,faudra que tu me dise ton secret. Dis-je en souriant

Mais je perdis mon sourire lorsque Jasper me regarda et dit qu'il commençer à bien enseigner surtout à nous mais en me regardant.Il savait très bien que les maths n'étaient pas ma tasse de thé ,j'étais meilleure en Biologie.Et il demanda si le retour à l'école n'est pas trop déplaisant.J'attendis que les autres répondent ,mais aucuns d'exu ne répondient.

Ben moi sa vas ,je peux surveiller Renésmée .Ce qu'il m'énerve c'est les devoirs et les exams ,mais heureusement que vous êtes la enfin surtout un. Dis-je me tournant vers Edward.

J'accueillit ma belle-soeur avec un immense sourire. Puis je levai les yeux au ciel lorsqu'elle embrassa mon frérot. Prenant un air faussement sévère, je lançai un:

" Mr Cullen et Madame Cullen! un peu de retenu quand même!"

Je ris de moi. Bella était mon jouet préférer, même aujourd'hui alors qu'elle n'est plus humaine. Ça m'amusait, plus qu'on pouvait le croire. C'était assez drôle de toujours jouer les stylistes, mais Nessie était réellement mon mannequin préférer! Ja la gâtais peut-être un peu trop, mais ce n'était pas mon problème, c'était celui de mon frère! Ah ah! Je plissai le nez devant la question de Bella, ils se répétaient ou quoi? J'haussai un sourcil, moqueur, lorsque les paroles de mon frère me parvint. Je lui tirai la langue en croisant mes bras sur ma poitrine, dans une attitude d'enfant gâtée. Mes élèves devaient trouvée étrange de voir leur professeur de Litthérature agir comme une gamine de cinq ans.

" Tu m'as autant manquée qu'une rage de dent!" m'exclamai-je moqueuse. " comment peux-tu le suporter Bella?" demandais-je en me tournant vers l'intéresser.

J'allais rétorquer autre chose quand mon mari pris la parole. En gentil petit lutin, je me tue et l'écoutai. Je réprimée une grimace lorsqu'il annonça que ces cinq dernier jours avait été pénible. Je me tordu le cou pour lui lancer un regard désolée à mon homme. C'était de ma faute après tout. Je l'avais poussée à le faire, puis s'il devait arriver un probleme, je le verrai bien! Je repris ma position initiale, enlaçant mes doigts à ceux de mon amoureux. Je ne dis rien cepedant, jusqu'à ce que Bella annonça qu'elle pouvait surveiller Renesmée ici.

" Tu t'inquiète pour rien, Bella! Ta fille se débrouille comme un petit chef!"

Je me mis à rire lorsque ma jolie belle-soeur brune ,lacha que moi et Edward nous devrions avaoir un peu de tenue et de ne pas s'embrasser dans l'établissement.Je n'eus pas le temps de répondre que son frère répondit pour nous deux ,je ne fis que acquiser.Je savais qu'Edward et Alice adoraient se taquinaient sa faisait 7 ans que je m'étais rendue compte ,au début sa m'inquiéter de les voirent comme sa.Mais je compris bien vite que c'était juste pour s'amuser et que sa n'était pas bien méchant.

Ah ma chère Alice ,ton chère frère à raison.Vous n'êtes pas discret non plus.

Le petit lutin me demanda également comment je pouvais faire pour supporter Edward ,c'était tout simple je l'aimais voilà tout.L'amour rends aveugle ,mais pour moi edward n'avait aucun défauts seulement des qualités .C'était l"homme parfait et je lui répétais souvent d'ailleurs ,moi pourtant j'étais loin d'être parfaite.

Et bien Alice pour répondre à ta question ,je supportes ton frère car je l'aime voilà tout. Je me sentais gênée par moment de faire une déclaration en public ,mais c'était pour la bonne cause.Surtout lorsque elle m'avouaq u'il fallais que j'arrêtes de m'inquiéter pour ma fille ,c'est vrai que par moment j'étais bien trop collante.

Que veux tu je m'inquiétes pour Nessie ,toute les méres sont comme ça normalement. Puis Rosalie mon autre belle-soeur pris également la parole en disant que sa journée avait été ennuyeuse ,comme je la comprenais.

Sa c'est sur certains cours sont ennuyant.

Edward repris la parole et me dmeanda comment je pouvais supporter alice ,ah lala ses deux la .Des vrais gamins.

Je la supporte car je l'aime également c'est une super soeur. Je lui sourie

J'offris un sourire grimaçant à ma blonde de soeur. Je devais avouée que retourner à l'École n'était pas la chose la plus palpitante qui soit. Bon faut reconnaitre que comme choix, ce n'était pas le meilleur. Je préférait de loin mon statue de professeur! Quoi que j'avais encore plus de boulot qu'eux! J'avais beau chercher, je ne comprenais pas ce qui les avait poussés à retournés sur les banc d'école.

Vivement, je me retournai vers mon frère. Interdit d'avoir des relations autre que professionnel? Oui, peut-être bien, et alors? Je fis une moue boudeuse et marmonai entre mes dents. Je n'étais pas furieuse, juste agacée d'être prise en défaut. Mais je ne me détachai pas de mon mari, au contraire. Et voila que Bella en rajoutait.

" Comptez pas sur moi pour divorser à cause d'un stupide règlement!" Je me tournai légèrement vers mon mari " Et tu pourrais me soutenir non?"

Devant la tête de mon frère, je me sentais un peu fière de moi et un petit sourire moqueur naquit sur mes fines lèvres. J'adorais le charier, c'était mon passe-temps préférer. Lui plus que les autres en fait. Edward embarquait plus dans le jeu que les autres. Un jeu que je n'oserais pas entammé avec mon mari. D'ailleurs celui-ci était immobile derrière moi. Je caressai sa main du pouce, tendrement, dans un geste invisible.

Lorsque Bella répondit à ma question, je levai les yeux au ciel c'était évident, mais quand même! Elle aurait pu l'agacé un peu non? Ce fut à mon tours de paraître vexée. Comment Bella faisait pour me supporter? Je l'avais bien méritai, certes, et je lui tirai la langue comme une gamine. Puis dansai légèrement, victorieuse devant les mots de ma belle soeur.

" Tu vois! Je suis adorable moi!"

Je repris mon sérieux lorsque Bella parla de Nessie. J'examinai le visage de Rosalie, elle avait toujours voulu être mère, c'était triste pour elle... Comme c'était triste pour Esmée qui avait perdu son enfant. J'inspirai un bon coup puis lui souris. Toute les mères étaient comme ça? Possible...

" J'en sais rien! Dans tout les cas, Esmée aussi s'inquiète tout le temps! Ça doit être génétique!"

Je me mi a rire bruyament, Jasper s'y met aussi, c'était obligé

- c'est l'hopital qui se moque de la charité

Juste pour enerver mon frere, je ne lacha pas ma femme, et l'embrassa sur le front
Je vous jure c'est deux là. J'avais réussit à entendre que Jasper riait intérieurement à cause des disputes entre Alice et moi
Il faut dire que cela est très comique, je l'avoue, deux enfants en pleine crise d'adolescents cela fait penser
Mais cela fait parti de notre caractère à Alice et moi, et cela dure depuis des années.

- Je peux également, en très bon élève que je suis, allez informer le haut personnel de votre petite relation, ils seront ravis d'apprendre que vous etes également mariés, mes chers

Je n'allais rien dire du tout bien évidement, mais j'attendais de voir la réaction de Alice, impulsive, cela est très amusant.
Je me sentais victorieu, maintenant ne reste plus qu'a attendre notre chère petit lutin

Mon mari était encore écoeuramment silencieux, comme à son habitude, mais je savais qu'il se moquait mentalement de nous. Je le connaissais tellement bien que je n'avais même pas besoin de voir ses prunelles pour le savoir. Mais bien vite, sa voix suave me surpris et mon sourire s'élargit. Je ne m'attendais pas à pivoter sur moi-même par contre et avant que je puisse poser la moindre question, les lèvres de mon homme c'était collé aux miennes. Surprise, je le laissai faire, pourquoi le repousserais-je? Mes bras se nouèrent autours de son cou, me rapprochant un peu plus de lui. Mais avant que je n'ai pu me hisser sur la pointe des pieds et transférer mon poids sur lui, j'avais repris ma position initiale, déboussolée et chancelante. Je clignai plusieurs fois des yeux, essayant de reprendre mes esprits. Je devais avoir l'air un peu idiote comme ça, mais bon...

Les paroles de mon mari me tirèrent de ma rêverie. Mon sourire s'élargit encore un peu et je me mis à sautiller sur place en tappant des mains comme l'aurait fait une petite fille qui aurait apprit que son anniversaire était devancer de trois semaines. Dans les dents frérot! Puis le ton faussement sévère de mon mari s'éleva, après avoir brièvement tirer la langue à mon frère, comme une gamine, je relevai les yeux, remplis d'étoiles, vers mon mari. S'il ne voulait pas que je ....STOP Alice! Plus tard tu veux? Fichues hormones!

Mon air victorieux se transforma rapidement en air choquée lorsqu'Edward nous menaça d'aller parler aux personnels au placé. Je lui écrasai le pied violemment, je n'étais pas lourde, mais j'y avait mis tout mon énergie! Ce geste avait été suivit de près par un coup de coude dans les côtés. En trois geste rapide, j'avais tabassée mon frère et repris ma position initiale. Encore cette fois, mon mari m'avait devancer et je repris mon air victorieux devant sa réplique. Que je l'aimais celui-là!

" Oh non, non, non! Il triche pas! Faut pas dire ça, Monsieur Cullen! Le professeur Hale ne fait que se servir de ses talents! C'est pas comme toi lorsqu'on joue au échec!"

Les Années 60? Je grimaçai, horrifiée. Notre mariage datait tant que cela? Je lançai un regard effarer à mon blonde de soeur. C'était déprimant! J'avais l'impression que c'était hier que j'avais descendu la grande allée dans ma robe blanche! Je me mordis la lèvre, oui bon, c'était pas l'envie de tout recommencer qui manquait hein! Mais je ne pouvais pas le perdre, non non non! Alors oublie ça ma vieille! Je repris pieds dans le monde réelle lorsque mon mari parla de factorisation ou je ne sais quoi dans ce bout la. Mon regard rencontra celui du directeur et je lui envoyai un sourire charmeur.

" Bonjour monsieur"

Je soupira lorsqu'il repartit, me défaisant rapidement de mon air professionnel pour reporter mon attention sur ma petite famille chérie. La remarque de Rosalie me fit rire et je secouai la tête. Idiot? Et puis quoi encore? Elle devait toujours préférer me voir comme ça que paniquée comme dans le jardin des semaines plutôt.

" idiot? Rohh voyons Rose! C'est l'absence d'Emmett qui te met dans un tel état d'impatience? Si tu veux je peux l'appeler à l'interphone! Il n'hésitera pas à se jeter à tes pieds!" la chariais-je, joyeuse.